En Janvier ton porte-monnaie va pleurer....

La vallée du temps profond de Jeury
et La minute prescrite pour l'assaut de Leroy ( saut dans l'inconnu , là ...)

Ce Jeury là me tente depuis que je l'ai touché la première fois en librairie. C'est du beau bouquin comme savent les pondre les moutons. Dommage que leur laine soit si chère et pleine de coquilles et de fautes d'orthographe.
Et puis Jeury, hein, Jeury. Comment ne pas se faire hameçonner ?

Rayon achat, en occaze tout neuf, Mieville China avec "Perdido machin", "les scarifiée" et "le concile de fer". Connais pas du tout. Mais la mention "fantasy" m'intrique, on dirait que celà n'en est pas..! Gniéé..!

Miéville aime à mélanger les différents genres, même si son décor utilise principalement les codes de la science-fiction (en tout cas dans Perdido Street Station). Fantasy, science-fiction, fantastique, tout s'entremêle de façon plus ou moins harmonieuse pour ne tirer que vers une seule constatation (l'avenir le dira): Miéville fait du Miéville, il est son propre genre.

Ces textes de Miéville se caseraient dans le New Weird

(On lui attribuerait la paternité de ce terme)
(Dans quel but ? Hal Duncan parle de donner une certaine visiblité médiatique à des auteurs comme Vandermeer, John Harrison, Miéville lui-même.
Ou alors une sorte de blague, à la manière du steampunk ?)

New Weird
La définition a l'air fluctuante.

Une petite liste de livres. A prendre pour ce qu'elle vaut...

The nail and the oracle, le volume 11 de l'intégrale des nouvelles de Sturgeon, couvrant les années 60. Contient aussi un western et des notices relatives à chaque texte.



(North Atlantic books, 2007, couverture de Paula Morrison)

		Citation : La minute prescrite pour l'assaut de Leroy ( saut dans l'inconnu , là ...)

J'avais beaucoup aimé La monnaie bleue.
Le reste de son oeuvre va chronologiquement du pas mal à l'exaspérant.

		Rising Sun a écrit, justement ama : Miéville aime à mélanger les différents genres, même si son décor utilise principalement les codes de la science-fiction (en tout cas dans Perdido Street Station). Fantasy, science-fiction, fantastique, tout s'entremêle de façon plus ou moins harmonieuse pour ne tirer que vers une seule constatation (l'avenir le dira): Miéville fait du Miéville, il est son propre genre.

Je suis tout à fait d'accord avec ça, avec un bémol, au sens où je trouve que la définition du New Weird (merci Le Gaidol !), quelque fluctuante qu'elle soit pour un "genre" (?) inhabituel, lui convient bien. En tout, cas, Lacroute, c'est sûr que ce n'est pas de la fantaiiiiiiiiiiizzzzziiiiiiiiiiieeee habituelle. En fait, pour moi ce serait comme un mélange steampunk + planet op' avec de la magie en plus. Et personnellement, j'aime beaucoup :-D.

		sandrine : The nail and the oracle

Ah, l'oracle et le clou...
(le titre français permute ?!)
Lu dans Histoires à ne pas fermer l'oeil de la nuit, grand format relié.

Une nouvelle western de Sturgeon, en VF : Cicatrices, dans son Livre d'or.

La guerre contre Paris : 1871 de Robert Tombs.
Un essai sur la Commune (salut à vous, chers communards), qui aborde un sujet peu traité jusqu'ici : quelle était l'armée que la IIIe république, avec l'appui de Bismarck, envoya écraser la Commune ?

Les saigneurs de guerre : brève histoire de la guerre et de ceux qui la font de Jean Bacon, préfacé par le Général de La Bolardière, qui connut la prison pour s'être opposé à la torture pendant la guerre d'Algérie.
Une petite mise en bouche.