En 2016, lis à ton aise

Jim:

		Citation : (et de prime abord, je ne suis pas déçu…)

Yes..! (smiley sourire). Pourvu que çà dure (re-smiley sourire)
J'ai du le lire à parution.
C'est dire si, maintenant, çà remonte.
Je n'ai rien, pour l'instant, en cours de lecture.
Cà me dirait de m'y replonger.
Donc acte.

Les Affinité de Robert Charles Wilson, et c'est hachement bien. De quoi me réconcilier avec l'auteur dont le précédent roman m'avait laissé un tantinet dubitatif.

Kallocaïne de Karin Boye.
Noir, c'est noir.
Et pourtant, il y a de l'espoir...

		Citation : (et de prime abord, je ne suis pas déçu…)

Comme Lacroute : Yes !
Pelot a beaucoup écrit (surtout des romans, il a toujours eu -de son propre aveu- beaucoup de mal avec les nouvelles). Si tout n'est pas inoubliable, on trouve de nombreuses pépites dans tous les genres auxquels il s'est essayé, du polar au mainstream en passant par le western.

Je ne sais pas ce que tu en penses Lacroute, mais pour moi, Pelot, c'est aussi un ton.
Une noirceur, un désespoir souvent éclairé par la brève étoile filante de la révolte ou de l'amour.

Cet après-midi, j'ai lu "Histoires mystérieuse", un recueil de nouvelle d'Isaac Asimov que j'ai trouvé d'occaze il y a quelques mois. Le fait est que je l'ai lu en une après-midi car, comme souvent maintenant que j'ai lu au moins la moitié des recueil de nouvelles d'Asimov publiés en français, j'avais déjà lu la moitié des textes.
Je dois avoir au moins dans 3 bouquins différents "A Port-Mars sans Hilda", c'est atroce. Néanmoins, j'avais toujours ce petit plaisir coupable quand je découvre un texte que je n'ai pas encore lu.

Par contre c'était peut-être d'occasion, mais c'était une édition récente. Ils sont toujours pas décidés à retraduire certain textes, alors on a droit à des trucs mignons du genre "ordinatrice" pour un ordinateur. Non, franchement, Asimov gagnerait beaucoup à une retraduction. (je peux même vous dire qu'il y gagnerait un paragraphe entier dans "Les robots de l'aube")

Olivier

		Citation : Je ne sais pas ce que tu en penses Lacroute, mais pour moi, Pelot, c'est aussi un ton. Une noirceur, un désespoir souvent éclairé par la brève étoile filante de la révolte ou de l'amour.

... j'allais aussi ajouter une époque.

Ok pour la noirceur. Désespoir tempéré par une tendresse qu'il centre sur ses héros principaux. Ces derniers vivent une brève révolte via des dés qu'ils ne savent pas encore pipés et qui quoi qu'il arrive feront sortir les faces machiavéliques de la manipulation par le pouvoir, du piège qui se referme et qui claque, sec.
L'image de "L'étoile filante" que tu emploies, Olivier, est forte, justifiée, appropriée.
C'est aussi un style. Qu'il semble avoir développé en solitaire sur une voie atypique. Quand il s'en donne la peine, ou le temps ayant beaucoup écrit, il est capable de tordre des phrases qui suintent au choix la tendresse, la haine, l'amour, la colère... en gros toutes les facettes qui font de l'homme, un homme habillé de ses défauts et qualités. Son style n'est pas neutre, détaché, mais toujours en prise avec des sentiments forts et omniprésents.

Alors, bien sûr, on peut, à le lire, ne pas adhérer à ses idées politiques ce qui engendrera le rejet tant elles sont omniprésentes; ne pas être sensible à sa manière d'écrire.

Alors Dans l'océan de la nuit c'est lent, sympas, mais lent. Le livre progresse à l'allure d'une tortue rhumatisante. Pas assez toutefois pour me faire renoncer au livre suivant.
Mais là j'attaque La légion de l'espace.

Le guide Howard de Patrice Louinet.
Voilà qui me donne envie de relire Conan.

Copie confuse - Pierre Salva

		Citation : Juste une question : quels sont vos avis sur le livre de Iain M.Banks (R.I.P) "la sonate hydrogène" C'est juste que pleins de mes amis m'ont conseillé ce livre et j'ai besoin d'avis d'expert.

Voir mon blog.C'est du bon mais aujourd'hui j' émettrai juste une réserve sur le concept d'élévation qu’un Brian Aldiss aurait mieux traité. Je suis fan du cycle de la Culture


http://soleilgreen.blogspot.fr/2013/11/la-sonate-hydrogene_14.html