Cycles

BC

		Citation : C'est ce que j'ai toujours pensé de Simmons mais je me sentais bien seul.

Mais non.
Le Simmons SF m'horripile, il recycle des idées que d'autres ont eu avant lui. D'où cette impression qu'il donne aux nouvelles générations d'avoir tout inventé.Ce n'est qu'un illusionniste.
Par contre, et pour les mêmes raisons, le Simmons Fantastique m'enchante. Il y est tout autant copiste mais çà fonctionne. Hormis pour "L'abominable" où je me suis fait copieusement c****. Ce bouquin ne contient que du vide où tomber d'ennui.

Pour en revenir aux cycles j'ajoute que la plupart contiennent des idées diluées, prétextes à tirer à la ligne, à gonfler les intrigues avec du vent et, pour l'auteur, rester poule feignasse couvant ses oeufs d'or.

Viive les one-shots.

Le seul cycle qui m'agrée vraiment est "La Cie des glaces" de G.J. Arnaud car ce n'est au final qu'un feuilleton et qu'un feuilleton sans redites ni erreurs n'est pas un feuilleton et perd tout son charme; qu'Arnaud s'est vu infliger par le FNA un genre qui ne l’intéressait pas et ne s'en pas si mal tiré que çà...! Pardonnez-lui, il ne savait pas ce qu'il faisait.

		Olivier : J'aime beaucoup les nouvelles thématiques, qui tournent autour d'un lieu ou d'un thème, sans devenir un roman stricto sensu : Chroniques martiennes, L'archipel du rêve, Vermillion sands.

+1
Sur le même principe, je rajouterais le Yirminadingrad de Henry et Mucchielli.

Le cycles de romans, ce n'est pas mon truc.
Tout juste ai-je bien aimé les quelques titres de La Geste des Princes-Démons, par Jack Vance, que j'ai pu lire (mais c'était avant la taille moyenne des romans n'augmente de trop).

Concernant Dan Simmons, j'aime bien certaines de ses nouvelles ainsi que quelques romans en fantastique et en one-shot (par exemple, Le chant de Kali).

Le meilleur format pour la SF, c'est la novella, epicétou ! ;)

Ahem...

		Citation : J'aime beaucoup les nouvelles thématiques, qui tournent autour d'un lieu ou d'un thème, sans devenir un roman stricto sensu : Chroniques martiennes, L'archipel du rêve, Vermillion sands.

+1

Même chose avec les romans qui tournent autour d'un thème ou d'une civilisation, sans devenir un cycle proprement dit, comme La Culture de Banks, l'Ekumen de Le Guin.

Mais, on fait comment avec les histoires du futur, genre les Fondation et cycle des Robots d'Asimov, La Hanse galactique de Poul Anderson, Heinlein et d'autres ?
Et quid des séries ?

Je suis allé chercher la définition du cycle en littérature.

		Citation : Un cycle en littérature désigne un ensemble d'œuvres ou de récits portant sur la même trame, un même thème, un même contexte, un même fait, un même personnage, une même famille, rédigées le plus souvent selon un même style d'écriture, mais non nécessairement écrites par un même auteur.

Clairement, ce n'est pas le cycle qui pose problème mais l'usage inapproprié du terme.

ps : Comme cycle, l'œuvre de Volodine s'impose.

z'avez la dent dure avec Simmons quand mme ( que j 'aime bien par ailleurs ) , Lucazeau fait exactement la meme chose (Sa nuit du Faune est un pastiche des Poul Anderson avec un peu de Baxter pour relever le plat , Latium avait des relents de Vinge ) et pourtant personne ne l'assassine

Il n'a pas non plus la renommée de Simmons. A vrai dire je ne le connais pas.

		LeGaidol : Même chose avec les romans qui tournent autour d'un thème ou d'une civilisation, sans devenir un cycle proprement dit, comme La Culture de Banks, l'Ekumen de Le Guin.

J'ajoute Varley.

Varley a d’ailleurs l’immense mérite d’y intégrer des romans, mais aussi des nouvelles.
Ces deux formats deviennent parfaitement complémentaires et permettent d’explorer au mieux les potentialités de son univers.
Il ne délaye pas une nouvelle en roman.

Il y a aussi les romans différents dans un même univers. Ce que j'aimerais faire avec ce que j'écris.