Barbarella

Pareil que morca : j'ai passé un très bon moment...

		morca : Et puis, au final, ce côté "libération sexuelle" avait une fraîcheur telle qu'elle me semble aujourd'hui retrouver un peu de sa fonction, dans un moment - today - où l'on mèle allégrement la censure, la surveillance, le retour de pensées réactionnaires et une imagerie de l'érotique ayant viré au trash-porno quasi chirurgical...

Je n'ai pas vu Barbarella, mais je partage tout à fait cette pensée de morca, et pour illustrer le propos : ce lien, trouvé sur un site voisin.
Et voilà où nous en sommes en 2007 !
Qui l'aurait cru en 1968 ?

Affligeant... 0_o

Je crois que nous avons toujours un gros problème avec l'éducation sexuelle à l'école.

Le pire, c'est la personne qui veut dénoncer interdire le film sans l'avoir vu !!! Il m'a bien fait rire...


Pour en revenir à barbarella , Dino de Laurentis veut en produire un remake et il vient de trouver son réalisateur Robert Rodriguez !!! Le producteur de Flash Gordon avec le réalisateur de Spy Kids , ça risque d'être quelque chose.

		Gracie : ce lien, trouvé sur un site voisin. Et voilà où nous en sommes en 2007 ! Qui l'aurait cru en 1968 ?

Au nom "du principe de précaution". De quelle précaution en l'occurrence ?

J'ai eu au moins un éclat de rire pendant Barbarella.
Lorsque dans le traineau, le type retire sa peau de bête laissant apparaître une envahissante moumoute pectorale.
Ahah !

Sinon ce film, c'est l'Empire du kitsch et du synthétique.

Simplement pour dire que tout comme Gutboy, je n'ai tenu qu'une demi-heure et que j'en tire les mêmes conclusions.

On pourrait envisager de classer ce film sur l'échelle de Zardoz ?
Non ?
Bon, je n'ai rien dit...

Ah, merci de me rappeler qu'il faut que je vois Zardoz un des ces jours...