Abécédaire SF

D comme Dirdir !

D comme Del Rey Lester pseudo de Ramon Felipe San Juan Mario Silvio Enrico Smith Heartcourt-Brace Sierra y Alvarez DEL REY Y DE LOS UERDES (dixit le Rayon SF..!) mais surtout pour le "onzième commandement" dont je garde un bon souvenir..!

E comme...

"E" comme David Vincent en souvenir d'une époque durant laquelle les génériques faisaient rêver et les petits doigts se levaient vers le ciel..!

"Les envahisseurs. Ces êtres étranges venus d'une autre planète. Leur destination: la Terre. Leur but: en faire leur univers. David Vincent les a vus. Pour lui, tout a commencé par une nuit sombre, le long d'une route solitaire de campagne, alors qu'il cherchait un raccourci qu'il ne trouva jamais. Cela a commencé par une auberge abandonnée, et par un homme que le manque de sommeil avait rendu trop las pour continuer sa route. Cela a commencé par l'atterrissage d'un vaisseau venu d'une autre galaxie. Maintenant, David Vincent sait que les Envahisseurs son là, qu'ils ont pris forme humaine, et qu'il lui faut convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé."

normalement il faut répondre E comme Egan, ce qui est tout à fait justifé.

Mais comme je suis une fille contrariante, je dirais plutôt :

E comme Evans, trop méconnu même dans son pays, mais dont l'excellent Mortal remains n'a pas grand chose à envier aux maitres du Nouveau Space Opera et dont l'uchronie Aztec century est un modèle du genre.

E comme Easton, pour sa série Organic future, qui décrit crédiblement un avenir basé sur les biotechnologies.

Des images :



(Gollancz, 1995)



(Gollancz, 1994)



(Ace, 1993)



(Ace, 1994)

Alors, E comme...

Et oui, bien sûr, Egan.

E comme Eschaton, la Singularité du calamiteux Crépuscule d'Acier

Eschbach, quand même, l'auteur des milliards de tapis de cheveux.

Earth roman éponyme de David Brin

Eh ben c'est dur avec le E !

E comme…

E cken
E schbach
E vangelisti

Bande vilains machos ! Vous en oubliez les filles !

D comme Sylvie Denis — évidemment.

"Eau" quand l'indispensable manque sur Dune.
"Eboueur" quand on évoque Touko et son space-garbage.
"Esturgeon" quand on pense à Théodore.
"Etagère" quand elle se fait bibliothèque.
"Espace" quand la SF vit d'opéras.
"Epilation" quand on imagine les amants zomvériens.
"Epée" quand Stormbringer sort de son étui.
"Eternuements" quand S. Lem s'enrhûme.
"Exquis" quand CSF se fait cadavre.
"Encre" quand elle noircit le papier.
"Envergure" quand les livres-univers se font pointilleux.
"Etroit" lorsque les "Arches stellaires" filent vers l'infini.
"Enigmatique" quand la hard-science se fait "Rendez-vous pour Rama"
"Ecrivains" quand ils prennent leur plume ou laissent courir leurs doigts sur le clavier.
"Enfers" quand les lendemains déchantent.
"Entité" quand la vieille SF se fait plusqu'humaine.
"Entre-temps" au regard des uchronies.
"Ecran" 16/9ème ou de toile blanche.
"Eblouissement" pour nos premières lectures SF.
"Envoi" pour "validation" de posts ou de mps.
"Eclipse" en souvenir du 3 octobre et de ses lunettes spéciales.

Et enfin "Embrouillamini" tout simplement parce que, phonétiquement, ce mot me fait rire..!

E comme Ender et ses pénibles extra terrestres
E comme Philippe Ebly pour son excellente SF pour enfants
E comme Effinger et son cyberpunk des mille et une nuits
E comme Elric et son Opinel maudite

Désolé de revenir en arrière, je débarque, mais y a un gros oubli pour le C : Curval et son Congo Pantin (les évadés du mirage);pour moi son meilleur roman.