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RE : la vie sans les émotions ?!
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06/08/2007 à 17h21
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| | | | | | Citation :
le film Equilibium |
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Je n'en ai pas gardé un bon souvenir, de mon côté. Mais je devrais peut-être le revoir, compte tenu que tu n'es pas le premier à en dire du bien !
Sinon, c'est ma vision propre des choses, évidemment, mais tout dépend de ce que tu entends par vie.
Personnellement, j'aurais tendance à considérer celle-ci comme la simple transmission / perpétuation des gènes au sein d'une espèce. C'est à dire que la vie pourrait être considérée comme se suffisant à elle-même.
En ce sens, elle n'a pas nécessairement besoin des émotions.
De mon point de vue clinique propre, j'ai tendance toutefois à penser que certaines d'entre elles - sinon toutes - sont nécessaires à certaines formes de vie que nous connaissons, et qu'elles existent pour une bonne raison : l'agressivité comme facteur de survie (conquête de territoires et de sources alimentaires pour la tribu, remplacement/destruction/assimilation des tribus plus faibles ou moins bien adaptées, meilleures possibilités de choix ou de sélection des partenaires pour la reproduction, ...), l'amour comme facteur de protection pour l'enfant à venir et celle qui le porte (donc là encore un facteur nécessaire à la perpétuation de l'espèce ou améliorant les chances pour celle-ci), etc...
Autant de choses qui remontent à l'époque de la savane, dans le cas tout au moins de l'espèce humaine... Et qui à mon sens sont le fondement de la quasi totalité de nos actions et comportements quotidiens.
A la limite, on pourrait aussi estimer que l' intelligence ne s'est développée que parce qu'elle entrainait de meilleures chances de survie ou venait combler les lacunes en d'autres domaines de l'espèce concernée.
Alors tout ceci relève de l'analyse froide et clinique (et n'est pas nécessairement vrai, s'agissant seulement d'une réflexion personnelle), mais je ne vois a priori pas d'autre explication.
Après tout, pour en revenir aux émotions, vivrais-je mieux ou moins bien sans elles ? Bonne question, les émotions ne donnant intrinsèquement, à mon sens, pas plus de signification à l'existence.
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dernière édition : 06/08/2007 à 17h38
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