 |
|
 |
|
|  | | | |
|
| Inscrit le : | |
|
|
30/05/2005
| |
|
|
|
|
3144
messages | |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
|
|
 |
|
Les signets |
16/01/2007 à 14h56 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Le long chemin de pélerinage du lecteur de SF à travers ses perégrinations livresques s'accompagne toujours de quelques objets accessoires indissociables du bon exercice de la lecture, qu'il s'agisse d'une lampe, d'un fauteuil confortable ou d'un oreilleux moelleux. Il est par contre un article dérisoire et néanmoins essentiel dont on ne parle jamais, alors qu'il est pourtant le compagnon indispensable de toute traversée d'un livre: le signet. Il est quelques lecteurs, véritables sauvages à mes yeux de collectionneur insatiable, qui n' hésitent pas à corner une page ou à poser le livre ouvert la tranche vers le ciel pour marquer leur page; ne pouvant me résoudre à de tels sévices sur cet objet précieux, j'ai toujours utilisé un article précis afin de baliser l'emplacement du livre que j'étais obligé d'abandonner avant la conclusion afin de vaquer à quelque autre occupation, scolaire, sociale, professionnelle voire alimentaire.
Des signets en cuir que ma maman me ramenait d'Angleterre quand j'étais ado, aux cartes d'embarquement dont je me sers comme marque-pages aux cours de mes périples aériens, en passant par les signets ex-libris de certaines éditions et autres objets promotionnels distribués également par certains détaillants dans notre drogue quotidienne, j'ai quelques idiosyncrasies particulières en la matière.
Et vous, comment faites vous pour marquer votre page quand les paupières deviennent lourdes ou que votre RER vient d'arriver à destination?
|
|
| |
|
 C'est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases...
|
|
 |
|
dernière édition : 16/01/2007 à 15h48
|
|
 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|