Le cycle des Inhibiteurs

ben pour moi Revelation space en a été le début et la fin ....

J'en pense que je ne l'ai pas lu... mais c'est que je ne suis pas amateur de cycles romanesques (surtout quand chaque étape fait 700 pages, minimum)

Cela dit, il m'intéresse d'avoir vos vues sur ce NSO, bien implanté en librairies donc, supposè-je, dans l'esprit des lecteurs.

Nul doute, SG-LYON, que tu recevras nombre d'avis et arguments.
(Gutboy, notamment, a regardé dans l'abîme... ;-)


PS : Bienvenu, au fait!

J'en pense que je ne l'ai pas lu... et que, l'âge venant, le temps me semblant diminuer et se fragmenter de plus en plus, je ne m'engage plus dans des cycles avec le même enthousiasme qu'autrefois.
Quoi, ceci ne constitue pas un avis ?

Suis sûr que les pavés imbriqués du monsieur valent le détour. Impression ne reposant que sur du vide, sinon à minima sur une intuition inexplicablement étayée. Comme on peut être influencé sans raison par un de ces romans qui traînent en PAL et qui attendent le bon moment pour se révéler.

Concernant les "inhibiteurs" j'ai la conviction d'idées brillantes servies par une forme intéressante.

Mais.....c'est sans nul doute l'Himalaya à grimper, et se coltiner les premiers contre-forts, çà rebute. Gare à la crampe de l'index droit mouillé qui tourne les pages.

Excellent cycle.
Fin de merde.

De bons moments, mais souvent confus. Le NSO, quoi...

C'est sans intérêt. Reynolds écrit mal. Le Space Op façon Dan Brown. Aucun intérêt.

D'excellents moments disséminés aux travers des tomes avec un faible pour le second et le troisième,
mais c'est beaucoup trop long bien sur.

Bien aimé Diamond dogs, Turquoise days. C'est court...

c'est trop bien.