Et si Le troupeau aveugle était trop optimiste ?

Comme écrivait William Gibson dans Neuromancien : "Le ciel au-dessus du port était couleur télé calée sur un émetteur hors d'usage." Nous en sommes bientôt là de l'humanité.
Pas lu Brunner, va falloir que je m'y plonge...

Les individus peuvent-ils sauver le climat ?
https://youtu.be/2BrVYeTywNI

J'ai l'impression que tu m'en veux pour Asimov.
Quoi qu'il en soit tous ces calembours à la chêne, beau bouleau.

		Citation : J'ai l'impression que tu m'en veux pour Asimov. Quoi qu'il en soit tous ces calembours à la chêne, beau bouleau.

Oh non, ce n'est pas la première fois que Fondation est fourdroyée... :)

A propos de la dessification : « Une proportion significative des arbres est en train de mourir », alerte le microbiologiste Francis Martin (Radio France 12/08)

BdN:

		Citation : Fondation est fourdroyée... :)

...ou "étêtée" car Asimov à la coque
>>>>> [j'ai une heure pour éditer et sabrer (c'est le terme) cette bêtise dont j'ai honte, si si]

ou qu'Asimov "écalé" sur la fin de l'éternité

N'empêche que face aux feux du soleil, nous nous ruerons tous dans nos cavernes d'acier !

Vivonne de Jérôme Leroy :
« Il avait l’impression depuis un certain temps de vivre dans les romans de science-fiction qu’il dévorait jadis dans la collection J’ai lu, ceux avec la couverture de Caza ou de Tibir Csernus. L’envie le prit de relire Le Troupeau aveugle de John Brunner [...] Alexandre Garnier ne se souvenait pas en détail de l’histoire, seulement qu’il s’agissait d’un récit polyphonique sur la fin du monde. Il avait dû lire ça quarante ou quarante cinq ans plus tôt. En revanche, il se rappelait parfaitement des couvertures qui représentaient un avant et un après d’une catastrophe planétaire. Sur la couverture du premier volume, on voyait une famille dans un salon futuriste, assise sur un divan. Tout le monde était souriant, en pleine forme. Sur la couverture du second, la même famille était recouverte d’une épaisse couche de poussière grise et le décor par la fenêtre n’était plus que ruines.
Pourquoi pensait-il a John Brunner ? se demanda-t-il en sortant un nouveau mouchoir. Peut-être qu’en ce moment, il se trouvait quelque part entre les deux couvertures.
Lui et toute l’humanité. »

Avec les inondations toutes relatives du métro parisien (qui a déjà eu des antécédents en 1910 par exemple), ma lecture du moment, Vivonne, trouve des échos. Le début du livre est fort bien troussé.