En Novembre achète sans attendre...

Inside straight, sous la direction de G. R. R. Martin, un objet hybride entre anthologie originale, sharecrop & fix-up de textes de plusieurs auteurs. Dernier opus paru de la série Wild cards, un concept (apparition de 'vrais' super-héros suite à un virus) plus proche du comics que de la SF littéraire.



(Tor, 2008, couverture de Michael Cormack)

The elysium commission, un titre de L. E. Modesitt Jr., auteur plus spécialiste de la Fantasy. Un roman que je n'avais pas remarqué mais qui a été traduit en VF.



(Tor, 2008, couverture de David Seeley)

		Citation : sharecrop

De quoi s'agit-il ?
D'univers partagés ?

		Citation : sharecrop

littéralement cela se traduit par "fermage", à la différence du shared-universe où les participants sont plus ou moins sur un pied d'égalité, le sharecrop correspond à la location de l'univers d'un auteur connu par un autre auteur (à son compte ou pour celui d'un tiers). La pratique était fréquente dans les années 80, on se rappelera par exemples des sharecrop d'Asimov (série Robots) ou de Clarke (Venus prime).

Merci.


Du coup, il me revient que j'avais lu ça :

Le tome 5 du manga de Eureka 7

The retrieval artist and other stories, un recueil de Karistine Kathryn Rusch, contient le texte initial de la série homonyme ainsi que deux des textes constituant Alien influences. Paru chez Five Star, un éditeur qui ciblait plutôt les bibliothèques.



(Five Star, 2002, couverture de Ken Barr)

The gabble and other stories, par Neal Asher, contient les nouvelles de la série Polity.



(Tor UK, 2008, couverture de Steve Rawlings)

Sunborn de Jeffrey A. Carver, un auteur inconnu chez nous, c'est la suite attendue dans la série Chaos chronicles.



(Tor US, 2008, couverture de Stephan Martiniere)

The january dancer, le dernier Flynn, un space opéra standalone.



(Tor US, 2008, couverture de Sparth)

Principles of angels, d'une nouvelle auteur britannique, Jaine Fenn.



(Gollancz, 2008, couverture de Nik Keevil)

C'est la mode des couverture sombres (à la Gollancz) qui gagne tous les éditeurs.

		Citation : The january dancer, le dernier Flynn, un space opéra standalone

Un auteur qui monte non ?
Je suis au milieu d' Eifeilheim du même et c'est très bon.

Eifelheim m'a l'air tout de même à part ?
A vue de nez (mais parfois celui-ci m'aveugle).

		Nostromo : Un auteur qui monte non ?

je peux dire non ?

Cela doit faire presque vingt ans que je lis Flynn de puis les Nanotech chronicles parues dans Analog

Comme je l'ai dit sur autre forum, c'est une sorte d'Anderson version moderne. C'est toujours du travail très correct avec parfois des idées originales ou des passages où l'on sent le souffle de l'histoire (dans In the country of the blind par exemple). La majorité de ses textes est de l'anticipation technophilique relativement proche et politiquement plutôt libérale, ce qui le rapproche encore plus de Anderson, sa firestar corporation ressemblant à la Solar company de Van Rijn.



(Baen, 1991, couverture de Garry Ruddell)

		LeGaidol : Eifelheim m'a l'air tout de même à part ?

Non aussi. On pourrait facilement réduire Flynn à un simple auteur Baen (même s'il est chez Tor maintenant), libéral et bas du front. Comme Anderson il a déjà montré, souvent dans ses nouvelles plus originales que ses romans, qu'il peut sortir de ce cliché.



(Tor, 1997, couverture de Bruce Jensen)