Décès de Philip José Farmer

		Citation : Maintenant, je vous laisse libre d'exercer un droit d'inventaire.

ta générosité est vraiment sans limite.

		Citation : Les amants étrangers (je l'ai en édition CLA)

aussi ;-).

Un hommage en poches (VO) :

http://img11.imageshack.us/img11/6739/pjf.jpg

Celui masqué par le flash c'est Night of light en édition britannique.

Un autre grand nom qui nous quitte...


Je n'ai pratiquement rien lu de lui, sinon une poignée de nouvelles, parmi lesquelles Après la chute de King Kong et Fragments sauvés des ruines de mon esprit que j'ai adorées.
(toutes deux sont dans son Livre d'or qui comporte aussi une remarquable préface de Jacques Chambon)

Quant au recueil Des rapports étranges, il est de ceux qui me font dire, quand je les revois dans ma PAL :"Mais pourquoi ne l'ai-je pas encore lu celui-là?"
Son tour viendra, en temps et en heure...




Edit : merci pour la photo, sandrine :-)
Il me semble que l'illustration de The stone god awakens (dans la première rangée) a été reprise au Masque , SF ou fantastique : je vais voir si c'est bien le cas...
Edit² : il s'agissait de D'or et de nuit, de Charles Henneberg, au Masque fantastique.
Edit : autre reprise : The image of the beast et La vie des ténèbres de Brian Hodge en J'ai lu épouvante

		Citation : Citation : Maintenant, je vous laisse libre d'exercer un droit d'inventaire. ta générosité est vraiment sans limite.

En fait, ça ne me coûte rien.

		Citation : sinon une poignée de nouvelles, parmi lesquelles Après la chute de King Kong et Fragments sauvés des ruines de mon esprit que j'ai adorées

+1
Et aussi celle parue dans les Dangereuses visions d'Ellison

Les cavaliers du fiel ou le grand gavage.

		Citation : Son livre d'or, orchestré de main de maître par Chambon était une splendeur. Autant ses romans pouvaient parfois être verbeux, autant ses nouvelles sont franchement percutantes.

Lu en hommage et sur tes conseils. C'est vrai qu'il y a de très bonnes choses. Un peu SF pour prof de Français par moments, mais c'est clair qu'il y a un écrivain...
Un truc que j'ai lu dans la préface de Chambon et qui m'a fait froid dans le dos : la première fois où Farmer raconte la résurrection de l'humanité au bord d'un fleuve c'est dans I owe for the flesh un roman écrit en 1953 (pas édité). Dans ce roman, revit toute l'humanité qui a vécu, depuis la nuit des temps jusqu'en... 2009... L'année de sa propre mort.