Août, écoute Lacroute…

Pour bien commencer août, j'ai commandé Alternate Worlds: The Illustrated History of Science Fiction, trouvé pas cher sur le Net.

Marsbound, de Joe Haldeman en édition poche (paru initialement en serial dans Analog), un hommage au juveniles de Heinlein bien exécuté mais finalement assez insignifiant comme la plupart des oeuvres de Haldeman depuis un moment.



(Ace, 2009, couverture de Fred Gambino qui ne s'est guère fatigué)

Flavors of my genius, une novella de Robert Reed en tirage limité chez PS.



(PS Publishing, 2006, couverture de Edward Miller)

Toujours chez PS en édition limitée, The voyage of night shining white de Chris Roberson, une novella située dans son univers uchronique aztéco-chinois (ou sino-aztèque) Celestial empire.



(PS Publishing, 2006, couverture de Tomislav Tikulin)

dans la même fournée, suite de la moisson de novellas en volumes reliés avec des variantes de présentation (livres numérotés, signés ou pas), ce sont des inédits sauf le Bisson (paru dans F&SF en 2006), à noter que le Baxter fait partie du cycle des Xeelees.

Starship summer, d'Eric Brown



(2007)

Planet of mystery de Terry Bisson



(2008)

Starfall de Stephen Baxter



(2009)

The crystal cosmos par Rhys Hughes



(2007)

tous sont chez PS Publishing et les couvertures de Tomislav Tikulin.

The new space opera 2, anthologie originale de Dozois et Strahan, le suite du premier (traduit en VF chez Bragelone) mais ici avec des auteurs un peu moins associés au genre ou moins connus.



(Eos, 2009, couverture de Stephan Martinière)

Le régulier Year's best de Dozois (le 26ème), toujours aussi massif (plus de 600 pages).



(St Martin's, 2009, couverture de Chad Beatty)

Of berserkers, swords & vampires, un receuil retroscpectif de Fred Sabehagen. Peu de choses nouvelles (il écrit très peu de textes courts), à comparer avec le recueil similaire sorti par Baen en 1987.



(Baen, 2009, couverture de David B. Mattingly)

Wireless, recueil de nouvelles de Charles Stross, pas d'inédit mais des textes parfois difficiles à trouver.


(Ace, 2009, couverture de S. Miroque)

Très belle même si très classique couvrante que celle du Baxter..On va se la retrouver sous peu, sûr, en emballage de tout autre chose et amorcer en sa compagnie un nouveau "J'ai déjà vu cette couverture quelque part..!"

J'aime bien la couvrante de Starship Summer de Eric Brown, aussi.

		Citation : un nouveau "J'ai déjà vu cette couverture quelque part..!"

Tu veux notre Poe !!! ;)
On a déjà un mal fou à trouver les clefs des derniers remue-méninges.. Ca ne se passera pas comme ça.

		Citation : On a déjà un mal fou à trouver les clefs des derniers remue-méninges..

Faut pas éxagéré non plus, j'ai la solution de l'un d'entre eux. Pour l'autre faut laisser l'espoir à Sandrine qu'on a pas trouvé, elle finira bien par lacher des indices inutiles..!

mdr
Scandale ! Lacroute il connait la réponse de sa propre enigme ! C'est de la triche ça !
C'est pas très Dickitable tout ça, PKD arbore dans ces livres des questions sans connaitre les réponses, LUI !

		Citation : Scandale ! Lacroute il connait la réponse de sa propre enigme !

Même pas: je l'ai oublié..! C'est le syndrome "Soldat des brûmes".
Et en plus c'est vrai..! Donc dickien...!

Gros achats aujourd'hui.

Du neuf :

La trilogie de Gaïa (Titan, Sorcière, Démon) de John Varley.
Neuromancien et Comte Zéro de William Gibson.
Pavane de Keith Roberts (quelle horrible couverture, il faut absolument que l'un de nous se sacrifie et neutralise Paternoster).
La captive du temps perdu de Vernor Vinge.
La maison aux fenêtres de papier de Thomas Day.
Le Maître et Marguerite de Mikhaïl Boulgakov.

Et du vieux :

Immortels en conserve de Michael Coney.
La conquête du chaos de John Brunner.
Le pavé de l'enfer de Damon Knight.
Le businessman de Thomas Disch.
Échange standard de Robert Sheckley.

Dont beaucoup de Roger Zelazny (suite au Bifrost qui lui est consacré) : le sérum de la déesse bleue, repères sur la route, un pont de cendres, aujourd'hui nous changeons de visage, à Faust, Faust et demi, le démon de la farce, toi l'immortel, le songe d'une nuit d'octobre, terre mouvante, l'enfant tombé de nulle part, franc-sorcier.

		amra : Pavane de Keith Roberts (quelle horrible couverture, il faut absolument que l'un de nous se sacrifie et neutralise Paternoster).

+1
Vous avez remarqué Paternoster, c'est l'anagramme en anglais de " penetrators ", on l'a dans le c.. ! :)