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morca

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Génocides

Thomas Disch


Génocides
Traduction : Guy Abadia
Illustration : Tibor Csernus
Titre original : The genocides
Première parution : 1965

 Pour la présente édition :

Editeur : J'ai lu
ISBN : 2-277-21421-3

Ce livre est noté   (4/5 pour 1 évaluations)


J'ai lu ce livre et je souhaite donner mon avis
La critique du livre
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Le quatrième de couverture est un peu grandiloquent ! On imagine presque des plantes à 8 pattes armées des tentacules monstroplantoïdes... :)

Disch

ne tombe heureusement pas dans les caricatures genre liane vivante, plante carnivore géante etc...
La plante dont il est question ici n'est qu'une plante. Si elle détruit tout, c'est simplement qu'elle est immense, ultra-résistante, et... qu'elle pousse, éliminant ses concurrents végétaux. Par là, même les végétariens, donc les carnivores... et à fortiori, les omnivores ! Glurps !!! :)
A première vue, des extra-terrestres ont décidé d'utiliser notre bonne vieille terre ( ;D ) pour faire pousser d'immenses plantes... après la destruction de leurs villes, des groupes humains survivent tant bien que mal, en tentant de faire pousser un peu de blé, en faisant un peu d'élevage. Certains en arrivent au cannibalisme.
Une situation peu reluisante, donc, dès le départ, et qui ne va pas s'arranger, bien sûr... !!!

Disch

nous fait connaître le sort d'un petit groupe - ou clan - à l'autorité patriarcale affirmée. Entre chacun des individus, malgré la nécessité de la survie, des heurts, des inimitiés, des désirs, des vengeances...

Disch

semble s'être centré beaucoup plus sur les conflits dans le groupe. J'ai l'impression qu'on pourrait bien remplacer les plantes par... par exemple, "une bonne guerre", que le principal intérêt de l'oeuvre eut été conservé... me trompeuje ???
Et c'est tant mieux, au final : j'avais un peu de mal à imaginer l'humanité disparaissant parce qu'une race extra-terrestre se servait de la planète comme pot de fleur et passait un coup de pssshhiittt sur les pucerons...
Heureusement, les relations entre les survivants sont agréablement amenées : tensions, complots, folies diverses, les humains, même quand on les extermine, continuent leur querelles incessantes. Beuh... Thomas, passe-moi la bombe hominicide, svp...
un livre assez sombre, qui, pour finir, se lira plutôt bien.




Il y eut d'abord l'inexplicable désintégration des cités, les gratte-ciel qui s'effondraient, écrasant des centaines d'hommes.
Et les quelques survivants ont fui vers la campagne, encore paisible, "normale"... mais pour combien de temps ? Jusqu'au jour où, sous leur yeux, jaillit la Plante, gigantesque monstre végétal qui prolifère, ravageant tout sur son passage.
Ils fuient encore, sous terre, où ils se trouvent piégés dans un labyrinthe de racines... celle de la Plante ! Se nourrissant de sa sève, ils essayeront de survivre. Qui "ils" ? Des hommes ? Des termites plutôt, ou des vers...


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