Top 10 des GSD!

		Citation : Mission to Mars

Pour ce que je m'en rappelle j'ai un plutot bon souvenir mais j'avais onze ans et je ne lisais pas encore de sf (juste du Tolkien et un Ténébreuse ou deux...) donc mon jugement ne vaut pas grand chose...

		Galvin a écrit : Puisque Franz parlait du cinéma holivoudien ailleurs, ça me rappelle que j'ai vu Mission to Mars ce week-end. Sans doute une des pires bouses que j'ai jamais vu. En gros, c'est une ressucée de "2001...", mal jouée, bourrée de clichés, et où on aurait remplacé le côté "intello mystique" par un côté "con comme la Lune".

A ce point là ???
Je ne me rappelle plus trop parce que je l'ai vu quand c'est sorti (donc en 2000), mais à l'époque j'avais noté dans mon journal intime "Pas mal". Commentaire laconique, mais pas particulièrement négatif.
Il me semble bien que j'étais d'accord avec toi au niveau des clichés cependant...

Ouias Soleil a raison: sans être le film du siècle c'est sympa et çà se laisse regarder... Un peu comme the Island (première partie avant que çà parte en course poursuite..)

		Citation : A ce point là ???

Malheureusement oui. On n'échappe à rien :

- Le héros sur le retour, qui avait décroché après la mort de sa femme et qui revient parce que
son-pote-a-super-besoin-de-lui-pour-sauver-la-mission-que-y-a-que-lui-qui-peut-le-faire.
- L'autre héros qui se sacrifie pour sauver ses coéquipiers, et sa femme qui fait partie de la mission aussi ("Je peux pas te laisser faire ça, nous allons mourir tous les deux... Adieu...")
- Le drapeau américain tombé à terre qu'on ramasse et qu'on replante avant de le contempler pensivement (p'tain, c'est beau, ça valait le coup de traverser un quart du système solaire pour ça)
- La grande révélation finale sur le sens de la vie : SPOILER (mais c'est pas vraiment important) suite à une catastrophe qui a ravagé leur planète, les martiens ont décidé : 1. d'envoyer de la vie sur Terre 2. de tous partir pour une autre galaxie. Ils auraient pu aller eux-même sur Terre mais non, c'était trop facile. Une étoile proche aussi c'était trop simple, non, ils fallait qu'ils changent de galaxie.

		bladerunner a écrit : sans être le film du siècle c'est sympa et çà se laisse regarder... Un peu comme the Island (première partie avant que çà parte en course poursuite..)

Je dois manquer d'originalité, parce que mon commentaire personnel sur The Island, c'étais aussi "Pas mal" sans autre commentaire !
Mon mari qui n'est pas fan de SF mais que je traîne quand même voir certains films du genre, a beaucoup aimé. Moi, j'ai trouvé que ça manquait d'originalité, j'ai l'impression que le thème est plutôt éculé... J'ai du déjà lire des livres avec ce sujet, mais par contre, impossible de retrouver des réféfences : quelqu'un a des idées ?

		Citation : Moi, j'ai trouvé que ça manquait d'originalité, j'ai l'impression que le thème est plutôt éculé... J'ai du déjà lire des livres avec ce sujet, mais par contre, impossible de retrouver des réféfences : quelqu'un a des idées ?

Sur le thèmes des gens "enfermés" et qui croient que dehors, c'est l'apocalypse, y'a la vérité avant dernière de Dick

		Citation : le côté "intello mystique"

Ah non, rien de mystique, si l'on en croit ce qu'a écrit Clarke sur le sujet.

		Citation : Ah non, rien de mystique, si l'on en croit ce qu'a écrit Clarke sur le sujet.

Ah... Faudra m'expliquer le coup du mioche dans l'espace à la fin alors... Et puis la chambre... Et le quart d'heure de lumières psychédéliques qui ressemblent à un plug-in visuel de Winanp...
Mais bon, je veux bien le croire, Clarke.

C'est peut être plus le côté Kubrick du film qui fait cela

		Citation : J'ai du déjà lire des livres avec ce sujet, mais par contre, impossible de retrouver des réféfences : quelqu'un a des idées ?

L'histoire des "piéces de rechanges" humaines m'évoque 2 références:
- La nouvelle un planète nommée Shayol dans les SdI de Cordwainer Smith
- Les récifs de l'espace de Pohl&Williamson

Pour ce qui est de la vie en vase clôs que l'on quitte pour une destination hypothétique, on peut y voir une sorte de parallèle à rebours avec l'âge de cristal