Que pensez vous de...

Petit tread fourre-tout destiné à demander l'avis des CSFeux sur des ouvrages SF...

Que pensez vous de La Paille dans l'Oeil de Dieu de de Larry Niven et Jerry Pournelle?

bonne idée de départ mais trop long, particulièrement pour l'époque où les auteurs de SF ne maitrisaient pas encore complètement la technique pour faire des romans de plus de 500 pages.

		Sandrine l'optimiste : trop long, particulièrement pour l'époque où les auteurs de SF ne maitrisaient pas encore complètement la technique pour faire des romans de plus de 500 pages.

Question sérieuse, pas provocation de base :

"Parce que vous pensez que maintenant, ils savent ???"

Pourquoi, ça date quand?
edit: de 1974 (merci le net)

Question subsidiaire, combien d'ateur sont sur le coup? La couv n'en site que deux, mais sur amazone ils en mettent 4 (Larry Niven, Jerry Pournelle, Pierre-Paul Durastanti, Olivier Girard)

Question subsidiare bis: quel est donc cette bonne idée de départ?
edit: je suppose que tu veux parler du contact avec un espece ET, un an avant la parution de rdv avec Rama, a moi que tu ne te refere à la collaboration d'un ecrivain SFt d'un spécialiste de la psychologie spaciale...

		Bull sans provocation : "Parce que vous pensez que maintenant, ils savent ???"

des auteurs comme Asher, Banks, McDevitt , Reynolds, Turtledove ou Vinge pour n'en citer que quelques uns qui passent les 500 pages en VO (soit plus de 600 en VF) ont commis des livres dépassant ce seuil sans que je ne les trouve trop longs (mais ce n'est que mon avis).

Ils utilisent au mieux les techniques propres à la SF (infodumps de plus en plus maitrisés, paratexte) ainsi que celles inventés pour les thrillers en les adaptant à un usage SF(narration multi-lieux remplacée par narration multi-temps, protagonistes aliens, découpage des séquences clés...).

Pour d'autres (certains Baxter, Willis, Stephenson, Robinson, Hamilton...) une cure d'amaigrissement aurait été un plus.

656 pages (c'est loin d'être le plus épais) :



(NEL, 1994, couverture de Bob Eggleton, qui semble avoir du mal avec les Me-109)

		JC interrogatif : Pourquoi, ça date quand?

1974

		Citation : Question subsidiaire, combien d'ateur sont sur le coup? La couv n'en site que deux, mais sur amazone ils en mettent 4 (Larry Niven, Jerry Pournelle, Pierre-Paul Durastanti, Olivier Girard)

Niven & Pournelle sont les auteurs, Durastanti est le traducteur (réviseur ?), Girard a dû écrire une intro (et est l'éditeur).

		Citation : Question subsidiare bis: quel est donc cette bonne idée de départ?

Les Moties ont un cycle de vie ultra-rapide et apprennent à une vitesse folle, seul hic, ils sont coincés dans leur système solaire.

Ai un assez bon souvenir de ce roman mais je l'ai lu dans la version Française AM qui doit etre incomplète.
Les descriptions du contact ET et les particuliarités de la civilisation ET sont très interressant.
Le contexte assez militaire de l'expedition et les relations hierarchiques m'avaient un peu parus désuèts ,genre sous Heinlein

		Citation : Le contexte assez militaire de l'expedition et les relations hierarchiques m'avaient un peu parus désuèts ,genre sous Heinlein

ça, c'est l'effet Pournelle puisque le roman fait partie de son univers CoDominium, et en reprend la structure militariste dont le manque de subtilité est assez caractéristique.



(Orbit, 1977, couverture de Tony Roberts que l'on retrouvera au FNA)

Sandrine, juste un commentaire et j'arrete avec ce HS, même les Banks, Vinge et autres Reynolds auraient gagné à une cure d'amaigrissement. AMHA, comme on dit.

		JC : edit: je suppose que tu veux parler du contact avec un espece ET, un an avant la parution de rdv avec Rama, a moi que tu ne te refere à la collaboration d'un ecrivain SFt d'un spécialiste de la psychologie spaciale...

je ne voulais pas parler de cela, le contact avec une espèce ET étant une idée qui doit dater de plus d'un siècle (dans le sens où les ET ne sont pas juste des hommes en costume), voir Rosny par exemple.

Je ne comprends pas ta deuxième phrase, les deux étant avant tout des écrivains de SF.