|
|
|
|
|
|
 |
|
 |
|
|  | | | |
|
| Inscrit le : | |
|
|
07/08/2005
| |
|
|
|
|
1375
messages | |
|
|
|
|
 |
|
 |
|
|
|
 |
|
La Séparation (Attention: SPOILER) |
24/10/2006 à 09h42 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
J’ai fini hier Le séparation.
Quelques remarques s’en suivent ainsi qu’une interrogation.
En vrac :
Remarque 1 :
J’ai une préférence pour La fontaine pétrifiante où tout me semble à sa place.
Remarque 2 :
A la lecture de ce livre, le lecteur se pose des questions (ce qui est une bonne chose) mais pas le livre (ce qui me dérange plus).
Je m’explique : « la séparation » n’est pas posé en tant que tel mais transparaît uniquement au fil des contradictions. De ce fait, j’enchaîne sur la troisième remarque :
Remarque 3 : Quel est l’utilité de l’historien ?
Son rôle logique aurait dût être celui d’un referant vis à vis d’une réalité normale (fin de la guerre en 45). L’historien aurait donc dut intervenir plus dans le récit, s’étonnant des contradictions et menant son enquête.
Tel quel, je ne vois pas trop son utilité. Sa présence ralenti le début de l’histoire sans rien apporter à son contenu. Il n’est qu’un prétexte à l’étalage de documents qui constitue le livre.
C’est là le principal reproche que je ferait à ce livre.
Remarque 4 : La mise en abîme, si réussi dans La fontaine pétrifiante, me semble beaucoup moins pertinente ici. Elle soulève deux problèmes :
1 : Quel est l’intérêt de l’uchronie si elle n’est que le fruit d’une simple hallucination.
2 : Que le journal de JL Saywer fasse les frais de cette hallucination est déjà étrange en tant que tel. En effet il ne peut avoir écrit son journal qu’après être sorti de son hallucination et, dans la mesure ou justement il s’agit d’un journal, il est surprenant qu’il raconte les chose comme s’il n’était point au courant de leur véritable nature. Logiquement il aurait dut commencer par expliqué qu’il avait était sujet a une hallucination d’une véracité déroutante.
Plus étrange encore, est oserai-je dire incohérent, est la présente de document officiel corroborant le récit uchronique…
Enfin, une question me taraude :
Comment interpréter le fait que l’historien s’appelle Stuart Gratton (Stuart étant le prénom du fils de Saywer et Gratton le nom de ses voisin, de plus Stuart Gratton est le nom du père du voisin en question. Mais bien sûre, rien de cela n’est vrai vue qu’il s’agit d’un parti de l’hallucination de Saywer.
|
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Science-fiction, fantastique, fantasy : Culture SF, toutes les littératures de l'imaginaire
© Culture SF 2003 / 2014 - Conception et réalisation : Aurélien Knockaert - Mise à jour : 08 juin 2014
nos autres sites : APIE People : rencontres surdoués - Traces d'Histoire
|
|
|
|
|