H0O

Juste histoire de coller à l'actualité météorologique qui oblige l'aviation à jeter des éponges au-dessus de certains paysages français: eau et SF..!

Nul doute que Ballard va passer par ce fil
Planètes océanes: Vance vient t'il nous causer du pays, nous envoyant des cartes postales mouillées..?
U.K. Le Guin ?

Le premier, la première, qui cite Dune..refrain connu, même si ici: le manque d'eau, justement, entretient la thématique.

Manque d'eau:
- Demain, une Oasis, Ayerdhal
- en film: une comédie débile (on peut? :P) avec un homme-kangourou saxophoniste : Tank Girl

Comme d'hab, je reviendrai si je pense à d'autres...

		Citation : Manque d'eau:

La mort de la terre de Rosny Aîné.

de David Calvo.

pas lu mais...
"Sunk est un monde qui coule. On ne sait pas très bien si c'est l'eau qui monte ou si c'est l'île qui descend..."

Il est à un prix ridicule chez un bouquiniste, pour une édition récente (Moutons Electriques).
J'ai hésité à me le procurer. J'aime rarement les histoires fantastiques.

L'illustration de couverture est quand même superbe.
Quelqu'un l'a-t-il lu pour donner un avis?

		Citation : Quelqu'un l'a-t-il lu pour donner un avis?

Lu !
Spécial, mais perso j'ai beaucoup aimé.
Je ne saurais plus trop le résumer mais si tu peux l'avoir pour un prix "ridicule" n'hésite pas : c'est pas très long et si tu n'aimes pas tu pourras toujours le revendre sans trop y perdre (puis comme tu dis la couv est géniale, moi il est en "face visible" dans ma biblio...)

BouquetsdeNerf : Enjoy !

Héhéhé, en planète océane, impossible de passer à coté de ce petit bijou de maitre Jack qu'est un monde d'azur.

Pour rester dans les planètes humides, voire même carrément mouillées, pas moyen d'éviter La face des eaux de Silverberg ou le Spatterjee de Neal Asher dans l'écorcheur (vraiment un très bon bouquin)... et bien sur Terremer de LeGuin. Je pense également à la planète Thalassa dans les chants de la terre lointaine de AC Clarke. Difficile également d'oublier la planète Turquoise dans la novella Turquoise days de Alastair Reynolds, et puisqu'on approche des océans intelligents, il faut bien sur citer Solaris de Stanislaw Lem.
Dans le moins connu, j'évoquerai également la planète Windhaven, théâtre du merveilleux roman éponyme de GR Martin (ma première VO US en 1982!).

Dans le rayon exotique, je signalerai un bon vieux FNA de Stefan Wul, la peur géante, dans lequel une forte montée des eaux est provoquée sur la terre par une race marine très très malveillante à l'endroit de l'humanité: les torpèdes. Heureusement, Bruno Daix veille, en plus il se tapera la gonzesse, mais je ne voudrais surtout pas spoiler ce délicieux pitch :D

Le premier qui parle du Waterworld de Costner a un gage :D

dans les planètes aqueuses, on peut rajouter celles d'Hal Clement :


(Tor, 2003, couverture de John Harris)

et l'amour de ce dernier pour la mer :



(DAW, 1973, couverture de Jack Gaughan)



(Del Rey, 1978, couverture de H. R. Van Dongen)

Il y a aussi Rocheworld de Forward dont une moitié est liquide :



(Baen, 1990, couverture de David B. Mattingly)

Ou la planète où se déroule l'action de Cachalot (je ne me souviens plus de son nom) :



(Del Rey, 1980, couverture de Darryll K. Sweet)

On peut aussi choisir l'exotisme (les Hawaïens dans l'espace):



(Del Rey, 1991, couverture de Hescox)

Je n'arrive pas à mettre le curseur dessus mais je suis persuadé que d'anciens threads abordaient ce sujet, ainsi que celui du froid (il ne m'étonnerait même pas que tu en fût l'initiateur, lacroute)

		Citation : Nul doute que Ballard va passer par ce fil

Si tu y tiens... Moi, oui, en tous cas.
Donc : Le monde englouti et Sécheresse

		Citation : c'est l'eau qui monte

Station des profondeurs de Swanwick


Des nouvelles :
La venise engloutie de Kim Stanley Robinson
Le temps, en s'évaporant de Dunyach ? Où l'océan, temporel, est au ciel... et descend.

Tiens marrant, j'avais acheté le Reefsong de Carol Severance uniquement sur la foi de la charmante naïade palmée de la couverture :D
Ca vaut le coup?

Pour en revenir aux mondes maritimes, je repense aussi à l'Orbitale de Vavatch, dans une forme de guerre de Banks

Mange-monde de Brussolo où les terres sont petit à petit grignotées et où les mers se gélifient (oui, oui !)

Dans Le Travail du furet (dans le poulailler) de J.-P. Andrevon, il pleut incessamment et le sol est inondé (des crocodiles se promènent allègrement dans les rues)

Au tout début des Guerriers du silence de Bordage, l'action se déroule sur Deux-Saisons, une planète où il pleut constamment.

La Guerre en ce jardin de Richard Canal, où l'action se déroule sur une planète océanique. Les rares terres émergentes sont marécageuses.

Si j'ai d'autres trucs qui se reviennent en mémoire...