Clichés à gogos

Ce qu'on ne trouve jamais dans ces articles nimbés d'un féminisme de prisunic, c'est la variété, qu'il existe entre tous ces auteurs. En plus de celles citées plus haut, si on lit Carolyn J. Cherry, Catherine Dufour, Mélanie Fazy, Catherine L. Moore, Joan D. Vinge, Connie Willis ... On s'aperçoit qu'il n'y a pas grand chose en commun. Les thèmes, la qualité littéraire, la psychologie varient beaucoup et c'est rarement inintéressant.

Je range d'avantage Fazi dans le fantastique plutôt que dans la sf.
Parmi les auteurs intéressants, il faut aussi citer Lisa Tuttle, qui a souvent imprégné ses textes de thèmes féminins : relations femmes-hommes vues du côté féminin, gestation (en particulier dans Compagnon de nuit), etc.

		Butch : Ce qu'on ne trouve jamais dans ces articles (…), c'est la variété, qu'il existe entre tous ces auteurs.

Très juste.

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Je viens d’apprendre le décès, survenu le mois dernier, de l’écrivain Katherine Dunn, dont le roman Geek love, finaliste du National Book Award, fut publié en Pocket - Terreur sous le titre Un amour de monstres.

Elle écrivit beaucoup au sujet de la boxe, passion qu’elle partageait avec Lucius Shepard qui reproduisait ici son article Just as fierce, lequel participait de la lutte sur les clichés sur les différences entre les hommes et les femmes.


Extrait (le dernier paragraphe) :

'It is time to recognize the variability of females, just as we do males. Women are real. Our reality covers the whole human megillah, from feeble to fierce, from bad to good, from endangered to dangerous. We don't just deserve power, we have it. And power in this and every other society is not just the capacity to benefit those around us. It includes, absolutely and necessarily, the ability to inflict damage and the willingness to accept responsibility."

Hear, hear !

Merci, Jim :-).

féminisme de prisunic , je retiens l'expression .
Quoique , de Monoprix peut se concevoir aussi ...

Je ne sais pas. Pour moi Monoprix fait disette, et Prisunic dictature