Ce que vous ecoutez en ce moment ?

Wikipedia résume très bien sa voix, je trouve :
"Waits possède une voix trempée dans un fut de Bourbon, séchée et fumée pendant quelques mois, puis sortie et renversée par une voiture."

Tiens en parlant de Cale, je crois que je préfère sa version à celle de Jeff finalement...Une voix plus humaine peut être, je sais pas...Enfin une bonne occasion de la réecouter :)

Bach : Partitas

Sur les quais de Dublin, Gilles Servat.
Un beau duo avec Ronny Drew, qui a eu le mauvais goût de nous quitter.

Gilles Servat, écrivain de science-fiction !!! ^^

Ceci dit "vive fougère et clisson", bin non...
Et je rappelle aux touristes que Nantes c'est pas la Bretagne :P

Du Dream Theater et le nouveau Metallica qui ne sort que dans 8 jours!!!

		Citation : Et je rappelle aux touristes que Nantes c'est pas la Bretagne :P

Que ce n'est plus la Bretagne depuis Pétain.

Ah Metallica, j'écoute toujours avec plaisir Ride the lightning et Master of puppets.
Mais depuis Load et Reload, j'ai décroché. Saint-Anger ne m'avait vraiment pas transcendé non plus, loin de là.

Programme original d'hier soir:
Les Stray Cats (en concert à Paris) direct en live via le tel portable d'un copain qui y était alors que j'était en train de faire un barbecue sous la pluie :D

Ma vie est un roman de SF :)

Espèce de cyberkeupon, va =P

		Olivier : Ah Metallica, j'écoute toujours avec plaisir Ride the lightning et Master of puppets.

Les seuls albums de ce groupe que je parviens à encaisser. And Justice for All, le seul autre que je possède d'eux, me gonfle toujours prodigieusement...

Sinon, je suis sur l'OST de Aquarian Age, un anime assez naze mais avec Yuki Kajiura à la composition ça prend tout de suite une autre ampleur, et en fait c'est la seule chose qu'il vous en reste après visionage

Fin de siècle de Jean Guidoni.
Un chef-d'oeuvre intemporel, où les textes sublimes de Pierre Philippe, tels Une valse de 1937 (trois narrateurs : un ouvrier russe stalinien, un ouvrier français défenseur du Front popu et un ouvrier allemand défenseur du nazisme, avec un final à couper le souffle), se frottent parfois aux périodes les plus noires (J'habite à Drancy), sans négliger une certaine légèreté (Ces chanteurs qui n'aiment pas les femmes, La grande expo de l'an 2000), mais toujours avec finesse et érudition.

Et un Guidoni qui sait se montrer cabot à souhait quand il le faut.
Bref, c'est sublime.