Bifrost N°45

		Citation : Ca faisait longtemps qu'on t'avait pas vu par ici, K2R2. Welcome back

K2R2 doit rechercher un peu de calme, et je le comprend.

Ouais, c'est un peu l'idée :]

à lire également, dans ce numéro, une interview de Maurice Dantec.

JCV

		"Jim" : Acheté hier. J'ai bien aimé l'interview de Wilson (auteur que je ne connais pour ainsi dire pas : ça m'a donné envie d'en savoir plus...)

Sa nouvelle dans Bifrost est assez jolie quoiqu'un peu confuse à mon gout.
Jim, rue-toi sur Spin.

		Citation : Jim, rue-toi sur Spin

oui, il y a beaucoup à dire !

		Jim : A noter également une longue critique sur Le papillon des étoiles, laquelle s'attarde tout particulièrement sur l'énormité des erreurs techniques : éclairant pour les non-scientifiques et complémentaire de la chronique zomvérienne.

Sans doute aurais-je dû évoquer cet aspect… Je crois qu’en réalité, il ne m’a pas paru essentiel dans la mesure où un livre ne revendiquant pas un côté comique et dans lequel le décollage d’un vaisseau spatial expérimental emportant dans l’espace des milliers de personnes est retardé parce qu’au dernier moment, un des membres de l’équipage est parti à la recherche de son chat, ne peut de toute façon plus prétendre à une quelconque plausibilité.

Au-delà des erreurs, il y a également les incohérences. Un exemple: lorsque les occupants du vaisseau spatial parviennent enfin à destination, il est clairement écrit que la planète sur laquelle ils arrivent possède une gravité inférieure à la gravité artificielle du vaisseau (p207) alors que p211, au moment des premiers pas sur ladite planète, on peut lire :
"Elle accomplit un pas. Le premier pas. Puis elle fit le deuxième.
Chacun de ses gestes lui apparaissait très lourd, comme si elle portait un sac de pierres, mais elle savait que c’était dû à la gravité plus importante que celle du Papillon des Etoiles.[NDLR : Le papillon des étoiles est le nom du vaisseau spatial]."

Faudrait savoir… ;D

Bref, ce livre est une catastrophe à tous les points de vue et ce ne sont pas les dernières pages, affligeante allégorie de carnaval, qui vont le sauver.

Ce livre s’est fait razzier ?

Non, le bouquin a raté le razzy de peu, au profit d'Aubenque. Dans sa critique J.P. Lion s'était engagé à manger un exemplaire du bouquin de Werber s'il n'obtenait pas le razzy du pire roman.
Je lui souhaite donc bon courage si jamais il nous lit.

		Citation : le bouquin a raté le razzy de peu, au profit d'Aubenque.

Faut dire que l'adversité était de très haut niveau :D