Replay

Argh! Encore un autre livre qui me met les mots à la bouche!
Bon sang! Il faut que j'accélère la cadence si je veux suivre et ne pas voir les livres s'accumuler.

Je n'aurais pas du lire ta critique Zomver...! Tu appâtes et çà mord à l'hameçon...!

Arrrghhh !
et une victime de plus...
avec des si !

Ca me rappelle un film sur ce thème. Un jour sans fin d'Harold Ramis.
Il s'agit d'un homme qui se réveille tout les matins, le même jour. Il revit pendant des semaines le même jour et les événements changent en fonction de ses actes.
Je trouve le sujet intéressant.

Merci pour cette chronique !

Ah c'est exactement à ce film que je pensais aussi !
La répétition de cette journée jusqu'à ce que le héros devienne quelqu'un de bien.
Et comme j'avais beaucoup aimé ce film à l'époque, avec l'excellent Bill Murray, je crois que je suis la prochaine victime ;)

Dans le même genre il y a aussi L'Effet papillon, un film plus récent au thème similaire.

J'ai lu ce livre il y a très longtemps, environ 10 ans, et à l'époque il m'avait profondément marqué. Il se lit d'une traite tellement l'auteur vous tiens en haleine et qui n'a jamais rêvé de revenir en arrière pour réparer ses erreurs!
Ce livre fait d'ailleurs partie des rares bouquin que j'ai lu plusieurs fois.
Je conseille fortement de le lire pour ceux qui ne le connaissent pas.
Allez ciao...!

Damned ! Je n’avais pas vu ces commentaires.

Sur le principe du temps qui se répète, c’est vrai que l’on peut penser à Un jour sans fin (Un film que j’ai apprécié). Cependant dans Replay, la période revécue est beaucoup plus longue : quarante ans ! C’est là que réside la différence essentielle car en quarante ans, on peut reconstruire toute une vie et chaque nouvelle vie est d’abord la perte de ce qui a été précédemment construit.
Un jour sans fin navigue clairement (pour notre plus grand plaisir) dans le registre de la comédie, ce qui n’est pas le cas de Replay malgré les touches d'humour que l'on y trouve.

Puisque nous en sommes à parler d’œuvres traitant de moments revécus, je signale que Quartier lointain, un manga de Tanigushi que m’a conseillé morca, est également sur ce thème et c’est vraiment superbe !
morca< merci du conseil donc et grouille-toi de revenir, ça commence à bien faire ! ;)

PS stzf< Je n’ai pas vu L’effet Papillon.

		moi-même : la période revécue est beaucoup plus longue : quarante ans ! C’est là que réside la différence essentielle car en quarante ans, on peut reconstruire toute une vie et chaque nouvelle vie est d’abord la perte de ce qui a été précédemment construit.

Je rectifie: la période revécue est bien sûr de 25 ans comme dit dans la fiche et non 40 ans !
Il est temps d'aller se coucher... :/

aaargh.. nan, j'ai pas vu cette chronique...
aaargh.. nan, j'ai pas vu cette chronique...
aaargh.. nan, j'ai pas vu cette chronique...
aaargh.. nan, j'ai pas vu cette chronique...
aaargh.. nan, j'ai pas vu cette chronique...
meu...
(pour tanigushi, zomver, j'aurais du te laisser la place dans les chroniques bd, mais tu peux réagir si tu veux ici : http://www.culture-sf.com/forum/chroniques_bd/forum2.php?num=8 )

c'est vrai que ça donne envie (ah, si je pouvais faire pareil, quitte à m'emmerder des fois)... je coince le titre dans la case : à se rappeler lors du prochain passage chez le libraire (pas souvent, las !)

J'ai bien aimé, zomver, merci d'avoir attiré mon attention sur ce roman. C'est bien intéressant, la façon dont les "répéteurs" sont amenés à accepter leur "vraie" vie. Il m'a quand même semblé que l'auteur ne mettait pas suffisamment en relief le poids du temps passé subjectif, mais c'est sans doute parce que j'ai Tyranael en arrière-plan, et d'une façon générale tous les "longèves" de l'oeuvre de Vonarburg.