Merci pour cette chronique,
soleilvert.
Je note quelques titres à explorer : « Le Dormeur aux mains calmes » ; « Est ce que vous écoutez ? » ; « Brisé comme un lutin de verre » ...
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| | soleilvert :
Je n’ai pas trouvé trace d’un mot, à défaut d’un hommage, pour Harlan Ellison dans les récentes « Reflections » de Robert Silverberg rédigées pour le magazine Asimov’s science fiction. Cela viendra peut-être un jour. Les deux hommes collaborèrent pourtant et voisinèrent dans les années 50 à New-York. |
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Tu m'as fait rouvrir
Other spaces, other times, assemblage d'articles de Silverbob en forme en rétrospective de carrière. En m'aidant de l'index, j'ai relu les passages où il parle de son ami Harlan : ils sont nombreux.
Au moins deux de ces textes ont été repris dans l'intégrale de ses nouvelles chez
Flammarion puis
J'ai Lu, en introductions de
Le chemin de la nuit et
Comme des mouches.
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| | soleilvert :
Le premier texte qui donne le titre au recueil (ah les titres chez Ellison …) a obtenu un Hugo en 1969. Difficile d’y comprendre quoique ce soit (...) Il appartient en quelque sorte au lecteur, dans cette story expérimentale, de se construire son propre pitch. |
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Le premier texte que je lus d'Ellison
(en Librio, ces fins bouquins qui furent mon point d'entrée en littérature SF...). Le titre m'avait frappé, comme tant d'autres chez cet auteur ; mais je ne dois pas y avoir compris grand chose non plus si j'en crois le quasi-néant de mon souvenir.
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| | soleilvert :
« Essaie donc un couteau émoussé » rejoint le plateau des meilleurs textes. Blessé à mort, un prêcheur tente d’échapper à ses poursuivants dans une boite de nuit. Au-delà de la référence évidente à Je suis une légende, Ellison assimile célébrité et vampirisme. |
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J'avais beaucoup aimé ce texte, lu dans les
Territoires de l'inquiétude
(où l'on trouve aussi, sur le même thème,
Lumière rouge de David J. Schow).
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| | soleilvert :
Ne manquez pas de lire l’introduction, mélange de compliments et de coups de griffe, de vérités et de mauvaise foi. Tout Harlan Ellison quoi. |
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Les introductions par Harlan, c'est quelque chose. Je ne m'en lasse pas.
(S'il se trouve un éditeur francophone pour composer un recueil de ses meilleurs textes,
il ne faudra pas qu'il les oublie.)
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| | Olivier :
Un gars et son chien avait été adapté au cinoche. Quelqu'un l'a vu ? |
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Pas moi... Je serais curieux de le voir.
Des rumeurs de remake, en live ou en animation, reviennent régulièrement (mais à moins de changer la chute du récit, je vois mal ça être produit par les temps actuels...)